Un local loué pour y effectuer les cinq prières et la prière du vendredi. Le local n’appartient pas à un musulman. Est-ce que cet endroit est assimilable à une mosquée?
Question:
Question : Par ailleurs, nous revendons certains écrits achetés dans les boutiques aux musulmans pour avoir de quoi payer une partie du loyer. Ces transactions se passent habituellement sur le lieu de prière à la suite d’annonces faites au sortir de la prière du vendredi et les musulmans viennent acheter. Qu’en est-il de ces opérations ? Constituent-elles des actions commerciales interdites à cet endroit ?