Ce qui compte c’est la réalité de l’intention, fût elle mal exprimée
Question:
Au moment d’entrer en état de sacralisation, mon intention était d’effectuer un pèlerinage mineur suivi après une pause du pèlerinage majeur selon la formule tamatou, mais un lapsus m’a fait dire: «un pèlerinage majeur comme prélude à un pèlerinage mineur.» Mes actes suivants ont traduit la réalité de l’intention et non le lapsus. Quelle attitude faudrait il adopter dans ce cas? Doit on tenir compter des faits ou de la parole (le lapsus).