Cet article répond d’une façon intelligente à ceux qui prétendent que notre prophète (sur lui la paix) épousa plusieurs femmes par pur plaisir charnel !!!
Cette introduction générale aux droits de l’homme en Islam répond aux interrogations suivantes : En quoi l’Islam diffère-t-il des principales autres idéologies du 20ème siècle ? Quelles sont les sources des droits de l’homme en Islam et quels sont leurs objectifs ? S’appliquent-ils seulement lorsque l’individu est vivant ou bien englobent-ils également sa vie après la mort ? S’appliquent-ils sur toute personne sans distinction ou tolèrent-ils certaines violations lorsque des intérêts « plus grands » sont en jeu ? Sont-ils restreints aux musulmans ou s’appliquent-ils aussi aux non-musulmans ? La réalité dans l’application des droits de l’homme en Islam est-elle conforme à la théorie ? Si non, quelle en est la raison ?
Cet article discute des éléments que l’Islam entend instaurer dans la société pour que chacun puisse jouir de tous ses droits et vivre en paix et en liberté sans être asservi à ses semblables. Il répond donc à la question suivante : « quelles sont les aspirations essentielles de l’homme et comment y parvenir ? » et cite de nombreuses preuves tirées du Coran et de la Sunnah, qui montrent l’importance que l’Islam a accordée à la protection des biens et des personnes, aux aides sociales, à l’éducation et à la santé.
Beaucoup de personnes encore aujourd’hui ont tendance à croire qu’il existe des groupes de gens meilleurs que d’autres, de par leur origine sociale ou ethnique, de par leur langue ou couleur de peau. Il ne faut pas s’en étonner quand on sait que certaines religions (comme le christianisme) ont, au cours des siècles passés, encouragé de telles opinions – et jusqu’à il n’y a pas très longtemps d’ailleurs –, et que certaines continuent même à le faire aujourd’hui (tels l’hindouisme et certains courants du judaïsme). On pourrait alors légitimement se poser la question si l’Islam n’a-t-il pas lui aussi véhiculé ces mêmes idées à contenu raciste et élitiste. Lisez l’article, vous ne serez pas déçu du voyage, Nous ne pensons pas que nous puissions faire plus clair… ce qui démontre une nouvelle fois, s’il en était besoin, que l’Islam est bien une religion on ne peut plus moderne malgré son ancienneté, une religion qui cherche à unir ...
L’Islam s’efforce, comme l’ont fait les législations célestes antérieures, de produire et de protéger les éléments nécessaires à la vie de l’homme et à sa pérennité. L’article expose les moyens que l’Islam a utilisés pour préserver ses grandes priorités que sont la religion, la vie, la raison, l’honneur, les biens, l’espèce, les liens de parenté, les droits des faibles et les richesses naturelles. Le premier chapitre est excellent, il parle des buts et des règles du djihad en Islam, du traitement des prisonniers et du système de la djizya, qui est l’impôt que les non-musulmans résidents en terre d’Islam payent pour que leur protection soit assurée. Ces points sont relativement méconnus des musulmans sans même parler des non-musulmans !
Quelle est la chose la plus importante que Dieu attend de Ses serviteurs ? Quels sont les devoirs envers Dieu dont l’homme doit s’acquitter afin de pouvoir prétendre au Paradis ? Croire en l’existence de Dieu suffit-il ? De quels éléments indispensables doit se composer notre foi en Dieu et quelles sont les conséquences pratiques de cette foi ? Et est-ce que l’accomplissement des obligations que Dieu nous a prescrites accepte une certaine souplesse en fonction du cas et des capacités de chacun ou bien aucun compromis n’est de mise ? Cet article se propose de répondre à ces questions.
Tous les musulmans prononcent plusieurs fois par jour, au cours de leurs prières, l’attestation de foi (la chahâdah), dont la deuxième partie est : « wa achhadu anna muhammadan ’abduhu wa rassûluh » (« et je témoigne que Mohammed est Son serviteur et messager »), mais combien sont-ils à connaître les implications pratiques que cette parole a dans leur croyance et leur vie au jour le jour ? Et peut-on rester croyant si l’on refuse de reconnaître la prophétie ne serait-ce que d’un seul prophète, quel qu’il soit, parmi ceux qu’Allah a suscité d’entre les hommes ?
Cet article rappelle les devoirs qui incombent à chacun d'entre nous dans ses relations avec chacun des membres de sa famille. Un très bon rappel qui s'appuie à chaque fois sur des textes issus du Coran et de la Tradition Prophétique. À lire, et puis surtout passer de la théorie à l'action, car il semblerait que la majorité d'entre nous ne fait pas tout le temps le minimum requis, or les conséquences peuvent être beaucoup plus graves qu'on ne le croit…
Cet article est un rappel concis mais nécessaire de quelques règles fondamentales qui régissent les relations gouvernés-gouvernants, étayé de textes issus du Coran et de la Sunnah.
Sommes-nous conscients de l’importance que nos voisins devraient avoir dans nos vies ? Savons-nous réellement traiter nos invités selon les prescriptions islamiques ? L’Islam est définitivement la religion du bon comportement, et pourtant, beaucoup d’entre nous avons de très gros progrès à faire dans ce domaine…
Cet article est un bref récapitulatif des versets coraniques qui traitent de l’aumône en général et de la zakât (l’aumône légale obligatoire en Islam) en particulier, avec mention des différentes sagesses inhérentes à cette dernière.
Très court article qui cite quelques paroles du Prophète (paix et bénédictions d’Allah sur lui) évoquant les droits et les devoirs des employés. Une occasion supplémentaire pour se rendre compte que l’Islam combat réellement toutes les injustices, mais aussi que la pratique actuelle des gens dans ce domaine n’est souvent pas à la hauteur de ce qui leur est demandé. Alors, au travail !
« L’Islam ne s’est pas contenté de prescrire la compassion envers les animaux, mais est allé plus loin en faisant de cette compassion une voie qui conduit au Paradis. Le Prophète (sur lui la paix) dit : « Un homme, qui cheminait sur une route et souffrait d’une soif ardente, trouva un puits… » La suite dans l’article !
« L’Islam a accordé un droit aux rues et aux marchés. Le Prophète (sur lui la paix), exhortant ses Compagnons, leur dit : « Gardez-vous de vous asseoir sur les voies publiques. –Mais, lui répondit-on, nous ne pouvons faire autrement ; nous n’avons pas d’autre endroit pour nous réunir et causer. –Si vous refusez de vous réunir ailleurs, reprit le Prophète (sur lui la paix), alors observez les exigences qu’impose la voie publique. –Et quelles sont ces exigences, lui demanda-t-on ? –On doit, répliqua-t-il, baisser les yeux, s’abstenir de nuire, rendre le salut, ordonner de faire le bien, défendre de faire le mal. »… »
Dans une première partie, cet article rassemble quelques textes qui rappellent les devoirs généraux des musulmans les uns envers les autres, avant d’évoquer dans une deuxième partie les devoirs encore plus généraux de justice, de respect et de conseil que les musulmans doivent appliquer à toute personne, qu’elle soit croyante ou non, musulmane ou non.
Cet article met à la disposition des lecteurs francophones les 25 articles de la Déclaration Islamique des Droits de l’Homme, telle qu’elle a été rédigée par les représentants des États membres de l’Organisation de la Conférence Islamique lors de sa 19ème conférence le 5 août 1990 au Caire. Ces droits mis en application, il s’ensuit l’édification d’une société islamique idéale, dont les principales caractéristiques sont ensuite mentionnées en 12 points. Le deuxième chapitre met en exergue - en 10 points - les différences de fond qui existent entre la déclaration « universelle » des droits de l’homme et la version ou le pendant islamique de cette déclaration, avant de conclure par l’appréciation d’une délégation de juristes européens sur les droits de l’homme en Islam.
« L’Islam, depuis ses débuts jusqu’à nos jours, doit faire face à ses ennemis et adversaires. Ces derniers ont rassemblé à cet effet toutes les ressources humaines et matérielles qu’ils ont pu ; malgré cela, ils ont, au plus, réussi à entretenir quelques préjugés, qui ne résistent pas à l’examen de ceux qui sont doués de raison et de clairvoyance. » Parmi les préjugés entretenus autour des droits de l’homme en Islam, il y a l’allégation que la législation islamique serait figée et ne s’adapterait pas au progrès, ou encore que les non-musulmans ne seraient pas libres de pratiquer leur religion et n’auraient aucun droit dans une société islamique, ou bien que la condamnation à mort de l’apostat violerait la liberté de croyance, ou que l’interdiction à la musulmane d’épouser un non-musulman serait une atteinte à la liberté individuelle. C’est à tous ces préjugés que se propose de répondre cet article.
« Les sanctions islamiques peuvent paraître sévères pour celui qui les observe superficiellement, mais justes pour celui qui a un regard perspicace, car elles garantissent, avec la permission d’Allah, l’éradication du crime et parce que la raison saine commande, qu’avant d’être épris de pitié pour le criminel, il ne faudrait pas oublier les droits des victimes. Le membre défectueux doit être amputé pour assurer la sauvegarde du reste du corps et on se passe de la partie pour sauver le tout. Celui qui puise ses connaissances concernant les sanctions en Islam chez des gens qui lui sont hostiles, qu’il s’agisse de musulmans de nom ou de non-musulmans, s’imagine que la société islamique est une société basée sur la sauvagerie, le barbarisme et le goût du sang et que les gens qui y vivent sont tous des infirmes : tel a la main coupée, tel est lapidé, tel autre est flagellé ; ils s’imaginent que ces peines sont appliquées quotidiennement, comme c’est ...
« Il faut tout d’abord rappeler brièvement que l’approbation de l’esclavage par l’Islam était le résultat de circonstances économiques et sociales particulières, étant donné que ce dernier fit son apparition dans une société qui dépendait quasi totalement de l’esclavage. C’était le cas, non seulement dans la Péninsule arabique où l’Islam apparut, mais aussi dans le reste du monde à l’époque où l’esclavage faisait partie des pratiques qui existaient dans les religions précédentes. » « L’Islam a utilisé deux méthodes pour venir à bout de l’esclavage en toute tranquillité, sans susciter de désordre, de problèmes, de rancœurs et d’hostilité, ni causer de perturbation de la situation socio-économique : restreindre les sources de l’esclavage qui étaient nombreuses et élargir les voies de l’affranchissement. » Un excellent article pour qui veut comprendre les progrès remarquables que l’Islam a apportés à la situation des ...
Sont présentés dans cet article quelques éléments sur le système judiciaire islamique, tels les conditions que doit remplir toute personne désirant exercer la fonction de juge et quelques grands principes directeurs dans la justice en Islam. On y trouvera aussi une traduction de la lettre qu’Omar Ibn Al-Khattâb, le deuxième calife de l’Islam, a envoyé à l’un de ses juges, lettre qui détaille l’attitude que le juge doit tenir et les règles qu’il doit respecter dans sa recherche de la vérité et de l’impartialité. Puis on s’intéressera brièvement dans une deuxième partie au rôle de la police religieuse en Islam en citant des textes du Coran et de la Sounna du Prophète qui en stipulent le bien-fondé.